Fête du cidre et de la chataîgne à Malvières en Haute-Loire
Malvières est une tout petite commune située près de La Chaise-Dieu en Haute-Loire. Son déclin semblait inéluctable et pourtant. Sa population a sans doute connu son apogée en 1846 avec 641 habitants. Elle n'en compte guère plus de cent aujourd'hui, 327 à la veille de la grande guerre et 192 seulement au sortir de la seconde guerre mondiale.
Mais Malvières se bat.
Chaque année, en septembre, pour prolonger la saison estivale, Talent rural organise le festival Rustival : rencontres, concerts, théatre, associations, animations, artisanat, peinture, sculpture, toute la contrée et au delà se retrouve sur le pré à Malvières : talent.rural@laposte.net.
Le 11 novembre dernier, c'était la traditionnelle Fête du cidre et de la chataîgne organisée par le Comité des fêtes. fabrication 'live" de cidre, chataîgnes grillées, crêpes, pommes cuites à la cendre, vin chaud, jus de pomme, animation musicale, vente de fromage et de miel de la région. Toutes les générations se retrouvent chaque année avant les frimas sous la houlette de Françoise.
Qui l'eut cru? Grâce aux efforts conjoints de la commune, des collectivités locales, grâce aux initiatives privées des uns et des autres, celle de Fabrice de Courson en particulier, Malvières dispose aujourd'hui d'une capacité d'hébergement de plus de 70 lits, gites, chambre d'hôtes...
Comme quoi avec du talent et de l'ambition, le déclin n'est pas inéluctable. La leçon vaut pour Malvières mais aussi pour le pays.





Avec ce dernier ouvrage, Questa storia, Cette histoire-là, Alessandro Baricco, l'élégant auteur de Soie,
nous raconte une nouvelle fois une histoire d'amour. Celle d'Ultimo et Elizaveta. Ultimo, premier et dernier né d'une famille de petits éleveurs italiens qui au début du siècle fait le pari prématuré de se reconvertir dans l'automobile, et même la course automobile. Elizaveta, orpheline russe émigrée aux Etats-Unis en 1917.

Quelqu'un qui peut t'attendre, il t'aime! Un bon résumé de ce livre plus complexe qu'il n'en a l'air. Une sorte de laboratoire d'écriture.

En cloîtrer en attendant le scrutin une quarantaine à l'hôtel Phoenicia, tous de la majorité, pour leur épargner le sort de Gebran Tueni, Pierre Gemayel, Walid Eido, Antoine Ghanem, assassinés et dont les meurtriers courent toujours,
Convaincre Sa Béatitude, a priori très réticente, d'établir une liste de candidats, l'obtenir, ne surtout pas la rendre publique, la faire remettre au Président du Parlement (8 mars) et au Chef de la majorité palementaire (14 mars) avec l'espoir qu'ils se mettent d'accord sur un nom...
Plus d'un an qu'on en parle, encore quelques jours, et l'on saura si la recette marche! Une fois que le Parlement aura ratifié le choix des leaders, s'il ne les déjuge pas!

