"The bubble" doublement censuré au Liban
"The bubble", film israélien d'Eytan Fox qui vient de sortir en France ne sera pas distribué sur les écrans libanais. On s'en doutait. C'est habituel.
Tout aussi habituelle la censure exercée sur la presse à cette occasion. Les exemplaires de l'édition du journal Le Monde datés du mercredi 4 juillet distribués au Liban étaient de nouveau amputés des pages 27 et 28 cette fois. En page 27 d'après le sommaire figurait en effet une critique du film et un portrait d'Eytan Fox.
Tout cela est proprement ridicule à l'heure d'Internet! On croît rêver! Et ce n'est pas assez dénoncé!
Les participants des différents partis politiques libanais à la conférence de La Celle Saint Cloud qu'organise Bernard Kouchner pourront profiter de leur séjour à Paris après le défilé du 14 juillet et qui sait la garden Party de l'Elysée pour aller voir le film. Ils pourront en effet faire des rapprochements avec la situation libanaise.
Le film est sorti en Israël en juillet 2006 juste avant le déclenchement de la guerre avec le Liban. La "Bulle" c'est la ville de Tel-Aviv où malgré le poids quotidien du conflit avec les palestieniens les gens, vivent, s'aiment, font la fête...Eytan Fox y met en scène une histoire d'amour sans doute impossible entre un jeune soldat israélien et un jeune palestinien.
Par bien des côtés, Beyrouth est aussi une bulle et même une juxtaposition de bulles et il est franchement dommage de priver ses habitants de l'opportunité de voir ce film.
Les DVD piratés qui circulent sous le manteau finiront bien par l'emporter sur la censure.







A ce titre, il a publié de nombreux rapports dont le dernier porte sur la politique de délivrance des visas dans les ambassades et Dieu sait s'il y a du travail . Ses propositions, fruits d'enquêtes sur le terrain, si elles étaient mises en oeuvre, amélioreraient considérablement le service rendu à l'usager et l'image de la France dans le monde. Il a également avec Michel Charasse son voisin du Puy de Dome publié un rapport sur l'action culturelle de l'Etat à l'étranger, une autre Bastille qui reste à prendre...
le nom de Geber que l'on doit le perfectionnement du processus de distillation qui permet de fabriquer l'alcool, mot qui dérive de l'arabe Al Kouhoul.
