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Loisirs - Page 7

  • Darshan de Zingaro

    Depuis plusieurs années, c'est devenu une tradition, nous allons voir un peu avant Noël le spectacle en cours du Théatre équestre de Zingaro www.zingaro.fr.

    Cette année, le spectacle s'appelle Darshan, mot impossible à traduire mais qui évoque l'idée de voir.

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    Tout commence comme d'habitude, on est heureux de retrouver nos marques. L'entrée dans l'enceinte de Zingaro, puis dans la grande salle qui sert à l'accueil du public, de lieu d'exposition (photos et accessoires des anciens spectacles) et de restauration, l'odeur du vin chaud est prégnante.
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    Puis, après quelques pas dans la cour, c'est l'accès au théatre de bois proprement dit, la traversée des écuries... Et là, pour celui qui n'a pas été prévenu, c'est la surprise : la piste ronde a été supprimée, les gradins à la périphérie détruits. Les spectateurs sont invités à s'asseoir sur une sorte de pièce montée qui va faire un tour sur elle-même pendant la durée du spectacle, pièce qu'entoure une piste en anneau circulaire, séparée en deux parties par un écran lui aussi circulaire, percé de portes pivotantes.
    Et c'est la plongée pour une heure et demi dans un théatre d'ombres. Chevaux et cavaliers nous offrent en effet des scènes derrière l'écran projetées en ombres chinoises. Des scènes souvent assez naïves : la pluie, le vent, la tempête, la baignade, le bord de mer, les mouettes en noir sur fond blanc, en blanc sur fond noir, la guerre, l'ange et le démon... Difficile de trouver un lien entre toutes ces images, une histoire. De temps à autre, un cheval avec ou sans cavalier fait un tour devant l'écran, souvent le cavalier porte un masque à gaz, allégorie de fin du monde?
    Sans doute, puisqu'à la fin du spectacle les ombres des chevaux sont au grand galop derrière l'écran tandis que les cavaliers, sans leurs chevaux, en chair et en os, devant l'écran, courrent à perdre haleine en se dépouillant de leurs vétements jusqu'à l'épuisement final... l'humanité serait-elle condamnée?
    La bande-son, oeuvre de Jean Schwarz, mêle des oeuvres de Bach Haydn, Mozart, Wagner...à des musiques traditionnelles des îles Salomon, d'Afrique, de Mongolie, à des chants coréens et tibétains, sans oublier le chant des mouettes.
    Au total, un spectacle déconcertant, très apprécié par ceux qui jouent le jeu, se laissent porter par les images et la musique et fort critiqué par les autres qui s'y ennuient profondément.
    Un spectacle courageux de la part de Bartabas en tous cas, le plus  simple eut été en effet pour satisfaire le public de faire un peu comme les années précédentes. Il faut y aller pour se faire son opinion. A la fin du spectacle, le rituel des années précédentes reprend ses droits avec le grand feu dans la cour. A l'année prochaine!

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  • Le téléthon de Félines

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    Nous partîmes 55 pour une marche de nuit ...
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    ...et par un prompt renfort nous nous vîmes une centaine pour la soupe aux choux, manifestations organisées dans le cadre du Téléthon par le Comité d'animation de Félines, sur le Plateau de La Chaise-Dieu.
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    Bravo et merci aux organisateurs!

  • La ronde des sapins de Sembadel

    Six ans qu'il n'y avait pas eu de fête à Sembadel (de Saint Badel ou Saint Baudilius?) sur le plateau de La Chaise-Dieu, théatre autrefois d'un critérium cycliste chaque été. Certes, il y a bien le vide grenier de Sembadel-gare et même l'an dernier la Biennale des potiers. Mais l'âme de Sembadel c'est à Sembadel-bourg qu'elle se trouve.

    Heureuse initiative donc que celle du nouveau comité des fêtes. Samedi 22 août tournoi de pétanque, spectacle la Danse macabre suivi d'un feu d'artifice en présence de 300 personnes et dimanche matin la Ronde des sapins, randonnée cyclotouriste dès 7 heures. 107 participants pour parcourir au choix un des trois circuits dessinés et bien balisés par les organisateurs : 110 km, 55 km ou 15 km. Plusieurs participants ont combiné un 55 et un 15 d'autres 2 fois 15, au gré de leur humeur et de leur forme. Ceux qui avaient choisi les 110 ont particulièrement apprécié la montée sous Allègre et le raidillon qui suivait la traversée des Guillaumanches en direction des Brayes. Le plus jeune des participants avait 5 ans, le plus âgé pas loin de 80.

    Beau succès donc pour une commune de 250 habitants.

    Repas champêtre dans la grange pour les participants et les organisateurs avant la remise des prix, qui au plus vieux, qui au plus jeune, au club le mieux représenté et au sort. Très nombreux lots.

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    Merci au Comité des fêtes notamment à Roland et Frédérique, chevilles ouvrières de ce renouveau et à l'année prochaine!

  • Les Boudoux

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    Aujourd’hui, nos semelles de randonneur nous ont conduits sur les traces de mon enfance dans la vallée de Chamalière, petite rivièles-boudoux-13.1250850336.jpgre qui se jette dans l’Arzon (Haute-Loire). Partant de Chomelix, village coquet aux portes des gorges de L’Arzon, le sentier chemine à travers bois, champs et  hameaux. Il emprunte parfois une ancienne voie pré-celtique appelèe “Bolène” fréquentée au Moyen Age par les marchands, les militaires et les pélerins. Peu de rencontres ce jour : des paysans croyant encore à l’agriculture: un éleveur de vaches qui construit une stabulation, un autre qui ose cultiver du maïs (étonnant en Haute Loire), des vacanciers prenant leur petit déjeuner dans le jardin encore protégé du soleil. Les géraniums adorent la belle chaleur de cet été, les rouges et les roses explosent sur le seuil des fermes rénovées. Bientôt, non loin de Bellevue la Montagne, le village des Boudoux apparaît.

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    Tiens il me parait plus étendu que dans mon souvenir. C’est ici que je suis venue en colonie de vacances deux ou trois années de suite au début des années 60. Colonie dirigée fermement par une grande dame, noire, énergique, Soeur Aimée de Jésus. Nous l’aimions sans doute , nous la connaissions bien puisqu’elle dirigeait notre école mais nous la craignions également car sa personnalité nous impressionnait.

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    Nous traversons la Chamalière sur le petit pont pour remonter vers les maisons. Nous adorions dévaler le champ devant la colonie pour mettre les pieds dans l’eau. Aujourd’hui, la rivière se camoufle sous la végétation. Je me souviens d’une superbe balade dans son lit au milieu des rochers et des mares d’eau, c’était une telle aventure pour nous d’atteindre la confluence de la Chamalière et de l’Arzon et le chateau d’Arzon où s’installait une colonie de…garçons!

    Nous atteignons le village : vais-je reconnaitre la bâtisse? Oui je pense que ce chalet avec du bois et son toit à une seule pente était notre colonie transformée en maison d’habitation maintenant! 

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    Grimpons plus haut pour trouver la petite chapelle: le dimanche, en uniforme (jupe bleu marine et chemisier blanc) nous assistions sagement à la messe. J’apprends aujourd’hui que c’était en réalité une maison d’assemblée, lieu de prières et d’école, utilisée par les béates.

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    Le village est vivant, habité mais je ne vois pas d’enfant dans les chemins. Nous aimions également gambader vers Bellevue La Montagne à quelques kms pour aller à l’épicerie (ou la boulangerie peut-être) acheter des petits bonbons. Ramassions nous aussi des mûres? Sans doute si l’été avait été chaud. Aujourd’hui nous nous régalons, elles sont déjà mûres!

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    Passant avec beaucoup d’insouciance de l’enfance à l’adolescence, j’ignorais encore que mon cher compagnon estivait avec mère, frères et soeur, tout proche de moi, à la Chaise Dieu (à une quinzaine de km).

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    Retour à Chomelix pour déjeuner et nous remettre de ce petit voyage pédestre dans le pays d’enfance. Nous choisissons ”Mille et une saveurs” tenu depuis un an par un jeune couple Audrey et Jérôme à qui nous souhaitons une bonne réussite dans leur entreprise. 

  • Aux sources de la Borne

    Courses à pied, randonnée pédestre, vide grenier, pétanque, repas champêtre,... Voilà la recette du succès pour cette 5éme édition des Sources de la Borne à Félines, petite commune d'un peu plus de 300 habitants (322 en 1999) du Plateau de La Chaise-Dieu, en Haute-Loire, qui a sans doute plus que doublé sa population ce 19 juillet.

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    80 bénévoles mobilisés, 119 coureurs, une cinquantaine de randonneurs, environ 300 repas servis, après la froidure de la veille, le soleil était de la partie.

    Les randonneurs ont pu découvrir le hameau de Plagnes, traverser le Ruisseau de Chamalières (affluent de l'Arzon), monter au Suc de barret, atteindre le petit village d'Almances avant de revenir au bourg de potiers qu'était Félines au moyen-âge (du latin Figulinas).

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    Nabil Ghoulam (de St-Etienne)a parcouru les 11 km en 36' 21", un peu plus vite que l'an dernier, et Joëlle Filaire (du canton) en 45'29". Félicitations à ces deux vainqueurs qui sont des habitués et reviendront l'an prochain.

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    Les officiels, Philippe Meyzonet, maire, et Robert Flauraud, conseiller général, félicitent Lucien, le doyen de la cours des 11 kms.

    Pour se restaurer : melon, jambon braisé, gratin de pommes de terre au lard, faisselle et forêt noire, eau de Saint Géron offerte. Le tout avec l'animation musicale un peu bruyante pour ce cadre bucolique de Radio-Craponne.

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    Une bien belle journée.

  • 14 juillet casadéen

    Dans beaucoup de communes de France, le 14 juillet, c'est l'affaire des pompiers. La Chaise-Dieu ne déroge pas à la règle. Les pompiers casaséens nous invitaient donc en cette veille de 14 juillet en leur caserne à un "saucisse lentilles".

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    Une réussite populaire, plus d'une centaine de convives se sont pressés pour partager dans des plateaux en aluminium une tranche de melon, une saucisse, des lentilles, du Puy en Velay naturellement, une part de bleu d'Auvergne et une pêche. Le tout pour huit euros. Apéritif et vin en supplément. La soirée était suivie d'un bal bien évidemment.

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    L'occasion d'admirer le parc automobile de nos valeureux pompiers volontaires et leur vestiaire. Merci à eux pour l'organisation de cette soirée. Rendez vous pour la kermesse le 2 août prochain. Et merci surtout pour les secours prodigués tout au long de l'année. D'une certaine façon, les pompiers ont fait leur la devise de Robert de Turlande, le fondateur de l'Abbaye de La Chaise-Dieu : Tout pour les autres.

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  • L'arboretum de Charvols

    Arboretum : plantation d'arbres de nombreuses espèces sur un même terrain, en vue de leur étude botanique.

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    Charvols : hameau sur la commune de Malvières, sur le plateau de La Chaise-Dieu en Haute-Loire.

    http://cc-plateau-chaisedieu.fr/L-Arboretum-se-veut-pedagogique.html

    De La Chaise-Dieu, à pied, compter quatre heures, aller et retour, visite comprise. Prendre la route des Guillaumanches sur l'ancienne route d'Arlanc, suivre les panneaux "Arboretum" et descendre, descendre, descendre...

    charvols 003.jpgOn est accueilli par un calvaire en piteux état, il y a un parking pour les automobilistes, et surtout une très belle vue sur la vallée de la Dore, le Livradois et les monts du Forez. C'est gratuit, visites guidées sur demande.

    Les plantations ont démarré en 1993. Après la tempête Persée des 7 et 8 novembre 1982, les professionnels de la forêt et les collectivités locales se sont demandées que replanter. Quelles essences? Comment diversifier la forêt pour faire face à de telles catastrophes, prevenir une maladie spécifique. Il fut décider faute de connaissances suffisantes d'expérimenter, d'où l'idée d'un arboretum. Plusieurs parcelles remembrées gràce à la future communauté de commune du plateau de La Chaise-dieu sises à Malvières allaient faire l'affaire.

    L’arboretum est organisé à flanc de coteau en 97 placettescharvols 016.jpg et présente 97 essences réparties en 38 feuillus, 34 résineux, et 25 arbustes et fruitiers. On s’y promène dans des allées et chaque essence fait l’objet d’un petit panneau avec de temps à autre des devinettes qui se veulent ludiques : l’arbre aux 40 écus vaut-il vraiment les 40 écus ?... Impossible de citer toutes les essences : genévriers, avec lequel on fait le gin, noisetiers, aubépines, sapins nordmann, pins maritimes, chênes, arbres de judée, tilleuls, ormes, araucarias, dits désespoirs des singes (photo)...  Les amateurs ont vraiment de quoi se régaler. Tout le site n’est pas encore totalement balisé mais cela ne saurait tarder.

    Quelles leçons pour les scientifiques? Pour l'heure, la forêt de sapins continue de s'étendre sur le plateau, il sera difficile de convaincre les investisseurs de se diversifier vers des feuillus. Courage!

    Ultime récompense pour le visiteur, le plaisir de déguster au goûter d’excellentes framboises collectées dans une feuille de catalpa.

    Le plus difficile reste à faire : remonter à La Chaise-Dieu. Une suggestion :  passer par le château de Folgoux, se rafraichir à côté à la Fougeraie (Bed & breakfast) puis faire une halte au Bar du plan d’eau.

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  • La Mère Agitée

    Une bonne adresse pour dîner comme à la maison! C'est rue Campagne première, près de la station de métro Raspail, à Paris.

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    Au RdC, la salle est petite, de quoi installer une vingtaine de clients au maximum et il y a une cave voutée pour les groupes (35 places) sur réservation.

    C'est comme à la maison à savoir qu'il n'y a pas de carte, même pas de menu affiché! Hier soir en entrée c'était soupière de velouté aux courgettes, excellent, de quoi se faire chacun deux bonnes assiettes creuses ou tranche de pâté; de la joue de cochon comme plat du jour, sans doute cuit très lentement, longtemps, presque confit, la viande fond dans la bouche, avec quelques légumes genre pot au feu; en dessert poires pochées à la crème anglaise. Le tout arrosé d'une carafe de côtes du Rhône.

    L'établissement existe depuis quinze ans. Il est tenu par Valérie (la mère agitée) et Dominique : http://www.lamereagitee.fr/index.html

    La patronne a tous les talents, cuisine bien sûr, bridge, jeu qu'elle pratique avec son PC en réseau, littérature...Dominique s'immisce dans les conversations, toujours sur un mode bon enfant : on est en famille. Ambiance très sympathique, abord simple, une excellente adresse à partager entre amis, et en plus il y a des animations les premiers mardi (jazz manouche) et mercredi (chant traditionnel) du mois. Compter un  peu moins de 30 euros par personne le soir.

  • Ubu Roi

    La pièce est donné au Théatre Montaigne à l'Espace des lettres de l'Ambassade de France au Liban jusqu'à samedi soir. Un bon plan compatible avec les finales de rugby puisque la pièce dure seulement une bonne heure à partir de 20 heures.

    C'est à la base une mise en scène pour un public scolaire et donc les spectateurs adultes devront être assez bon public pour apprécier la sollicitude dont ils feront l'objet de la part de la troupe Arcinolether de 4 acteurs français et libanais sous la direction de Christophe Cotteret.

    Ubu a donné l'adjectif ubuesque et celà l'est! La pièce d'Alfred Jarry date de 1896 et elle est prémonitoire du XX siècle.

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    Prise du pouvoir, dictature, et chute du tyran sont les trois actes de la pièce. Le décor est remplacé par des vidéos qui font des parallèles entre Ubu et les grands dictacteurs du siècle passé : Hitler, Mao, Mussolini, Pinochet, Staline. Il manque ceux de la région...

    Tout cela est assez simple mais se veut pédagogique, allez un bon début de soirée! et place au jeu...

  • ABC d('u C)aire (fin)

    Suite des épisodes précédents

    T

    Tapis verts : synthétiques, ils envahissent par endroit les trottoirs les vendredi, jour de prière, surtout ne pas marcher dessus.

    Taxis : ils sont noir et blanc, près de 100 000, tous plus épuisés les uns que les autres, bien vérifier l’état du véhicule avant de monter, l’un de ceux que j’ai emprunté n’avait pas de marche arrière, donc un autre peut ne pas avoir de freins ? Chaque fois qu’ils me voient marcher à pied, ils klaxonnent !

    Trottoirs : ils sont avant tout le prolongement de la boutique ! Parfois le revêtement du sol est le même que celui de l’intérieur du commerce. Toujours une ou deux chaises sur le trottoir où l’on prend selon l’heure, le frais, l’ombre, où l’on travaille, lit le journal, bavarde…

    U

    Umm khalthum : chanteuse vénérée par les Egyptiens. Je n’arrive pas à m’y faire. Elle a sa statue sur un quai de l’île de Zamalek.

    V

    Volailler : celui la rue de la rue du 26 juillet (1952) gère son stock au mieux, la volaille vivante attend dans des cages de passer à votre demande sur le billot. Bon appétit.

    Voile : omniprésent, noire pour les vieilles, de couleur ou blanc pour les plus jeunes. Voile de couleur et jean moulé ne sont pas, heureusement, incompatibles.

    X

    X : pas de films X dans ce pays, en cassettes sous la Gebelaya sans doute…

    W

    Welcome ! : répondre bonjour ! Les français sont très bien vus ici depuis la guerre du Golfe et Chirac est un héros.

    World Trade Center : celui du Caire est toujours debout ! Il abrite en particulier les bureaux de la Banque mondiale…

    Z

    Zamalek : Ce pourrait être un peu l’île Saint Louis, mais elle est traversée par une autoroute urbaine dans sa longueur. Des îlots de charme tout de même, comparée aux autres quartiers grisailleux.

    Fin