En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
A L'été photographique de Lectoure, une très belle édition cette année avec en particulier en accès libre sur les remparts des allées Montmorency et sur le boulevard du nord cette très belle Danse macabre réalisée avec la complicité d'habitants de la bastide.
C'est cette année la treizième édition de ce petit festival de musique qui se tient chaque année à La Romieu dans le Gers où les deux fondateurs de La Main Harmonique et du choeur Ambrosia nous donnent rendez vous chaque année en juillet.
La collégiale était pleine hier soir 22 juillet pour écouter le concert Kaleidoscope : une diversité foisonnante de musiques polyphoniques de la renaissance musicale et des premiers baroques en Angleterre, en France et en Italie, interprétés par Frédéric Bétous, contre tenor et direction, Nadia Lavoyer et Judith Derouin, sopranos, Steve Zheng ténor et Marc Busnel, Basse et bien entendu le choeur Ambrosia.
Des textes explicatifs lus par les chanteurs apportaient également un éclairage bienvenue et la distribution des textes des oeuvres aurait été un plus apprécié.
Ce mardi 22 décembre, le brouillard de la mi-journée levé, on décide d'aller en soirée voir à Berrac, la mise en lumière du village et la crèche de Noël. Nous savions que Jean-Louis devait sonner les cloches à la volée à 18 heures mais pas que nous serions aussi nombreux. Pas moins de 15 personnes dans cette petite commune d'une centaine d'habitants, des illuminations montées par les bénévoles de Berrac Village Gersois, les cloches à la volée pile à 18 heures sonnées finalement par John et Annabelle sous le regard de Jean-Louis et une petit verre de vin chaud préparé et offert par Jeanine. Des enfants émerveillés. Le miracle de Noël renouvelé.
Vendredi 2 octobre, la Société archéologique du Gers présentait à la salle de la comédie de Lectoure le fruit de deux années de recherche sur les moulins du lectourois.
Le lectourois ou 28 communes autour de Lectoure dans lesquelles ces érudits ont recensé avec l'aide des communes est des propriétaires pas moins de 151 moulins, environ 90 à vent et 60 à eau. Recherches sur le terrain et dans les archives richement illustrées par des photos et des plans. La conférence était animée par Georges Courtiès l'ancien président de la société et suivi par de nombreuses personnes, élus, propriétaires, ou simplement curieux.
Les moulins à eau sont les mieux conservés, ceux à vent ont été plus abimés par le temps mais jalonnent encore le paysage, même lorsqu'ils ont perdu leur tête et leurs ailes.
L'occasion d'expliquer les mécanismes de fonctionnement de ces moulins, sans roue à aube mais à roue horizontale dans notre région, et de préciser les affres du métier de meunier, surtout pour les moulins à vent avec les risques associés à l'habillage des ailes, la montée des escaliers chargés d'un sac de farine, la surveillance de la vitesse du vent. On y a appris également que pour déterminer le sens du vent les meuniers s'appuyaient sur la position de leur âne toujours soucieux de s'abriter du vent.
Et de clore en chantant "Meurier tu dors...
Dans un siècle ou deux on inventoriera sans doute les silos qui jalonnent aujourd'hui nos campagnes...
Pas de festival de La Chaise-Dieu cette année! Mais dans le Gers, notre nouveau chez nous, à La Collégiale Saint Pierre de La Romieu, sur le chemin de Saint Jacques, Musique en chemin, le petit festival annuel organisé par l'ensemble 'La Main Harmonique, a proposé deux soirées les 24 et 25 juillet.
La première dans la chapelle de la collégiale a permis d'entendre la choeur de la Main Harmonqie dans des madrigaux de la renaissance italienne sur le thème de l'amour et de la mort.
La seconde dans les allées du cloître était consacrée au piano, trois concerts, le premier d'Alice Ader intitulé sur le ciel de la péninsule ibérique avec des oeuvres de Frédéric Mompou, Domenico Scarlatti et Isaac Albeniz, le second avec Alexandros Markeas, virtuose de l'improvisation libre, inspirée de Duke Ellington, BillieHolliday, et John Coltrane, le troisième avec François Dumont, aux sources du romantisme, avec deux sonates de Beethoven et quatre ballades de Chopin.
Une excellente soirée, dans des conditions sanitaires excellentes, masque, gel, un siège sur deux, entrée et sortie en bon ordre...
La démonstration que les petits formats s'en sortent mieux dans les circonstances actuelles que les grosses machines, agilité, souplesse, adaptation, sont les clefs de la réussite.
Le Gers l'a fait! Le WE dernier à Fleurance et Lectoure. Le Gers avait déjà inventé l'association "dites32" pour attirer les jeunes edecins dans le département.
Cette fois)-ci à l'initiative des professionnels de santé de Lectoure et des environs c'est la première université d'été sur la médecine du futur qui a été montée.
Un vrai succès puisque lsamedi après-midi en plein WE du 15 août, plus de 300 personnes, professionnels de santé, élus, habitants... ont participé aux trois conférences programmées avec comme pour thème l'intelligence artificielle en santé par Georges Uzbelger (IBM), les NBIC -Nano, Biotechnologies, Informatique et Sciences cognitive par le professeur chirurgien Brice Gayet (Institut Montsouris) et Le Système de santé de demain par le professeur Etienne Minvielle (école Polytechnique et CNRS.
Encadrant ces conférences, un buffet déjeunatoire sous la Halle de Fleurance, et un buffet dinatoire délicieusement Gers dans la cour des marronniers de Lectoure suivi d'une soirée cabaret aves Les chants de Garonne et d'une découverte du ciel. Le dimanche matin nouvelles tables rondes sur le thème de la médecine à la campagne auxquelles je n'ai pas assisté.
Les conférences étaient d'excellentes qualité avec une mention très positive pour celle de Brice Gayet, très vivante, concrète, enlevée. Les discours des élus en amont des conférences étaient en revanche trop longs et sans intérêt, les buffets peu copieux et lents, le vaudeville proposé par les chants de Garonne bien agréable.
Au total une belle initiative à consolider l'an prochain. Merci aux organisateurs en particulier au pharmacien de Lectoure, Arnauld Cableguenne, cheville ouvrière de l'opération.
Plusieurs lieux et de nombreux concerts pour cette manifestation qui en est tout de même à sa 51éme édition! Lectoure, Eauze, Condom, fleurance, Flaran, Terraube et Lavardens. Difficile d'honorer chaque concert).
Nous sommes allés à Condom dans le cloître de la cathédrale écouter François Salque au violon et XeniaMaliarevitch au piano avec au programme l'élégie de Fauré, trois romances de Schumann, deux sonates de Chopin et Debussy et une rhapsodie hongroise de Popper. Très bon concert, avec des musiciens engagés dans un cloitre dont on peut regretter l'inconfort notoire des sièges baquets sans dossier!
La soirée cabaret Hommage à Michel Legrand dans la Cour des marronniers de Lectoure (photo) était vraiment très agréable. Michel Legrand avait donné un concert en ce même lieu le 11 aout 2016. Etienne Manchon, 24 ans seulement mais étoile montante du jazz avait préparé avec sa formation élargie (claviers, saxophone, batterie, contrebasse , mais aussi deux violons et violoncelle) un patchwork d'oeuvres connues et moins connues. Excellente soirée en plein air par un très beau temps.
En l'église de Terraube, petite déception avec la Danse Sacrée de Bach, la cantate BWV 82 "Ich habe genug", interprétée par Jean-Michel Feix à l'accordéon, cet orgue de poche, Estelle Besingrand au violoncelle, , Christelle Gouffé, Mezzo soprano, et Faustine Gardeil Danse. La danse peut-elle être un art sacré?, l'exercice n'a pas été convaincant.
D'agréables moment que nous avons complétés par un joli concert en la collégiale de La Romieu par un groupe espagnol, l'Apothéose, qui a interprété des oeuvres de Haendel dans le cadre du Festival Musique en chemin.
Chaque année depuis l'âge de 45 ans j'essaie de faire quelque chose d'un peu particulier au mois d'août. A 45 ans j'étais monté à la course à pied au Drachenfels, Le Rocher du Dragon, un ancien volcan, une colline aujourd'hui sur la rive droite du Rhin, qui fait face à Bad Godesberg, où nous habitions alors. Le Drachenfels culmine à 321 m.
En 2016, j'avais pédalé, de La Chaise-Dieu à Saint Etienne et l''an dernier j'avais effectué 50000 pas entre Pouy-Roquelaure et Montréal du Gers, soit environ 40 km.
Cette année, j'ai longé le canal latéral de la Garonne entre Saint Nicolas de la Grave, en amont de Moissac et les ponts jumeaux à Toulouse. 75 km sur une piste cyclable dans le calme, sans voiture, en silence, en toute sécurité, ombragée avec quelques haltes où j'ai retrouvé ma compagne qui avait accepté de faire l'assistance au cas où en me suivant pas très loin en voiture. Bien agréable. L'occasion de découvrir les ponts jumeaux à Toulouse au confluent du canal latéral de la Garonne, du canal du midi et du canal de Brienne. Ces deux ponts sont décorés d'un magnifique bas-relief qui mériterait d'étre davantage mis en valeur d'ailleurs.
L'activité sur le canal est assez réduite : j'ai croisé deux ou trois bateaux qui naviguaient et pas un seul dans une écluse. Beaucoup de bâtiments vétustes appartenant à VNF font l'objet d'appels à projet, sans grand succès apparemment. Plusieurs cyclistes, des randonneurs à pied et à vélo, de simples promeneurs. Un bel endroit. Cela peut paraître monotone mais le calme et la sérénité l'emportent.
Une expérience à renouveler sur un autre tronçon, il y a de quoi faire jusqu'à Sète.
La Gasconnère, c'et un rassemblement jour du 14 juillet, à Lamontjoie dans le sud du Lot et Garonne, en Albret, on y trouve des randonneurs pour 12,73 km et des VVTistes pour au choix 47, 27 ou 12 pour les enfants.
L'organisation est parfaite, très bon balisage, café accueil, badge pour chaque participant avec les numéros à appeler en cas de problème. Nous avions choisi la randonnée, beaucoup de soleil, quelques passages ombragés. Le village de Nomdieu abrite le ravitaillement. 200 m de dénivelé. 2h48 de rondo soit moins de 15 mn au km.
Beaucoup de monde, au moins une centaine pour les seuls randonneurs et sans doute davantage pour les VTT, certains à assistance électrique.
La commune compte environ cinq cent habitants, c'est une petite bastide dont l'église abrite des reliques de Saint Louis. L'itinéraire de randonnée emprunte également les villages de Saint Vincent de Lamontjoie et Nomdieu avec ses cadrans solaires, 250 habitants chacun, tous en frontière du Gers.
A l'arrivée, ravitaillement et repas à partager avec comme plat principal du porcelet.