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Peer Gynt

peer-gynt.jpgAprès la folie meurtrière qui s'est déroulée à Oslo et dans l'ile d'Utoeya en juillet dernier, je me suis dit qu'il fallait lire quelque chose sur la Norvège et jai choisi la pièce d'Henrik Ibsen, Peer Gynt.

Bien m'en a pris, la lecture d'une pièce de théatre change agréablement de la lecture d'un roman et puis cette pièce est formidable et coîncidence sans doute, elle va être reprise au Grand Palais, par la Comédie française  en mai 2012, on peut donc s'y préparer.

Au premier niveau, c'est simplement une suite d'aventures merveilleuses tirées du folklore norvégien, le héros Peer Gynt, vole sur un bouc, conduit sa mère au chateau de la mort, rencontre des trolls, nous emmène au Maroc, au Caire, échappe de peu à un naufrage sur la route du retour, c'est plaisant, proverbial à souhait, des petites leçons de vie dispensées au fil des aventures.

C'est aussi un conte philosophique, non seulement être ou ne pas être mais être quoi? se suffire à soi-même?, être soi? être hors de soi? être un homme?

La postface de François Regnault, le traducteur, est passionnante.

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