Le cerveau de mon père
Avant de s'attaquer à Freedom, l'évènement littéraire de la saison qui fait tout de même environ 700 pages, j'ai jugé raisonnable de commencer par ce peitit recueil, 87 pages, de trois petits textes, tous autobiographiques.
Le premier raconte la suite des états par lesquels est passé Jonathan Franzen à la suite de la découverte progressive de la maladie d'Alzeihmer dont est atteint son père. De la révolte à l'apathie, de l'apathie à l'empathie. L'éciture est élégante, beaucoup d'émotion.
La seconde nouvelle raconte une journée media vécuepar l'auteur à l'occasion de la sortie de son ouvrage intitulé "les corrections". Retour pour une émission télévisée d'Oprah Winfrey dans Saint Louis la ville de l'enfance, le quartier, la maison familiale, le chêne planté pour recueillir les cendres des parents décédés, les amis survivants, la mise à nu par la télévision, le droit à la vie privée.
Le troisième texte est sans intérêt particulier.
Donc plutôt lire le livre à l'envers pour finir par le meilleur. Reste à savoi de quel texte se rapproche freedom?