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To kill a mockingbird

Trois titres en français pour ce best seller de la littérature américaine du XX siècle, au gré des traductions : Quand meurt le rossignol (1961), Alouette je te plumerai (1989) et simplement Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur (2005).

Je l'ai lu en anglais sur ma liseuse, laquelle offre avec son dictionnaire intégré des facilités de lecture très pratiques même s'il manque l'odeur du papier.

Le hasard aura fait que son auteur Harper Lee, née en 1926 est décédée en février 2016 au milieu de ma lecture.

Le livre est désormais un classique de la littérature américaine. Il est étudié dans les écoles et les collèges (au sens français) américains parce qu'il est clairement antiraciste et prend clairement position en faveur de l'égalité des droits. 

L'histoire est racontée par une enfant de huit ans Scout qui vit avec son père, Atticus, veuf, et son frère ainé Jem (12- 13 ans). Il y a une gouvernante noire Calpurnia. L'action se déroule en Alabama, ancienne terre d'esclavage dans les années trente. Atticus est avocat et il va avoir à défendre un jeune noir, Tom Robinson, accusé du viol d'une jeune fille.

L'ouvrage est très didactique, très autobiographique, c'est aussi un roman à suspense. Beaucoup de qualités donc.

Il est encore malheureusement très actuel et mérite donc d'être lu même s'il a été publié en 1960. Le racisme, les préjugés, la violence, la bêtise et l'injustice sont toujours présents, en Amérique comme ailleurs.

 

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